2014-JURY

Le jury 2014










Christian Brion.


Tout a commencé par la réalisation de bandes son dès 1967. Puis je suis tombé dans la marmite de l'audiovisuel en 1979, au sein du Photo Ciné Club des PTT de Paris, devenu aujourd'hui "Objectif Image".

Un premier montage en compétition à Epinal en 1980, et l'addiction était bien là. Depuis donc plus de 30 ans, j'ai le plaisir de commettre des montages audiovisuels et de partager cette passion, avec tous les auteurs rencontrés en France et ailleurs, au gré des jurys, des festivals, et des compétitions.

A l'occasion de "La Coupe Lumière", je suis sur que nous découvrirons des oeuvres de qualité, qui pourront donner à connaitre, prêter à sourire, et révèleront aussi leur capacité à nous surprendre et à nous émouvoir.










Claudine Durand.


Ayant commencé le diaporama il y a fort longtemps en groupe et sans autre but que de partager et de faire connaître, j’ai découvert beaucoup plus tard le monde des festivals et des concours, et j’ai eu l’occasion d’y rencontrer des œuvres très diverses, et des techniques qui ont bien évolué.


Si la forme est importante et l’innovation louable, la cohérence entre les divers éléments du montage est essentielle, et le regard personnel de l’auteur est déterminant à mes yeux dans l’appréciation et l’évaluation d’une oeuvre.


C’est dans cet esprit que j’ai accepté la proposition du Club de Triel.

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Jean-Yves Calvez.


Du modeste compact au mythique Hasselblad, de l’obscurité d’une chambre noire à la lumière d’une salle d’expo, les chemins sont tortueux. Chaque photographe à son parcours.

Il faut du temps pour aiguiser son œil et capturer la lumière.

J’ai découvert le court-métrage photographique avec le club de Coulommiers et son président Philippe de Lachèze-Murel.

J’ai eu la chance d’avoir très vite quelques réussites gratifiantes ce qui a favorisé le terrain pour que s’implante dans mon corps et prolifère le fameux « virus du diaporamiste ».

Cet art mélange mes trois passions que sont la littérature, la musique et la photographie.

J’aime sentir un photographe derrière l’œuvre et de l’âme derrière celle-ci. Je n’aime pas trop ce que l’on appelle dans le petit milieu du diaporama : l’animation.

Je trouve qu’on utilise le plus souvent ces effets pour masquer un manque de fond et que cela donne presque un côté vieillot voire risible à son projet et va à l’encontre d’une certaine esthétique de l’image.

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