Roger Banissi.
Ce n’est que depuis que je suis retraité que je pratique sérieusement le diaporama. Jusqu’alors, par manque de temps, je me contentais de séries agrémentées d’un fond musical qui me permettaient de revoir mes images de voyage. Mais j’aime avant tout qu’une projection me raconte une histoire et c’est pourquoi je n’hésite pas à composer quelques diaporamas à l’aide de dessins, quand ceux-ci facilitent la réalisation. Par exemple, si j’ai besoin d’un taxi londonien de 1925 dans une rue de la capitale anglaise à la même époque… une feuille de papier et quelques crayons de couleur comblent mes désirs, mais je jalouse bien évidemment quelques-uns de mes confrères diaporamistes capables de produire de magnifiques photos qui se suffiraient en elles-mêmes, tout en les mettant au service d’une « histoire ». Je me réjouis d’avance à la perspective de découvrir celles que la Coupe Lumière 2015 va m’apporter.